L’innovation en théorie et en application

L’innovation dans le domaine des sciences

En Ingénierie en tant que science, l’innovation se définit comme la synthèse de la maîtrise et de l’optimisation. Et dans les Grandes Écoles d’ingénieurs généralistes, pas seulement à Centrale, l’innovation est tour à tour définie comme valeur clé, caractéristique propre et définissante de l’ingénieur ou encore même identité de l’école pour certaines d’entre elles. Par exemple, à l’École Centrale de Nantes, pendant les années où j’y ai étudié, la philosophie de l’école était de former l’ingénieur comme généraliste afin de placer celui-ci, au cœur de l’évolution, par sa nature et sa capacité à innover à travers un environnement pluridisciplinaire. L’innovation y est donc la nature et la capacité propre de l’ingénieur généraliste et aussi son moteur pour l’évolution.

Je me suis donc personnellement senti très vite concerné par ce qu’est l’innovation, à travers les sciences d’une part, aux vues de mon palmarès académique déjà. Puis à un degré supérieur encore, dans mon activité professionnelle, car dans mon bureau d’études en ingénierie de la mécanique des fluides je peux appréhender les problèmes au niveau d’une innovation.

L’innovation dans le domaine professionnel

Dans le monde de l’ingénierie en tant que travail en entreprise, l’innovation est ensuite chez l’ingénieur un cœur de métier. Elle est donc de surcroît importante pour l’ingénieur que je suis. Car elle est cette capacité qui permet de trouver des solutions à des problèmes complexes qui peuvent être soit techniques, financiers, organisationnels ou méthodiques […], et qui de par leur complexité ne peuvent pas s’obtenir simplement en appliquant des formules toutes faites. C’est le fait de trouver des solutions originales, de mettre de nouvelles idées en œuvre d’un point de vue pratique en réponse à la complexité de projets de toute taille que réalisent les ingénieurs d’aujourd’hui. Ce à quoi je peux vraiment répondre par le biais de la Simulation Numérique.

Ainsi, au sein de mon bureau d’études en ingénierie de la mécanique des fluides, je me sens de surcroît impliqué par ce qu’est l’innovation du point de vue d’une réalité.

Mais quel niveau faut-il pour innover ?